jeudi 6 décembre 2012

Préparation du Chritsmas cake

Voici en image les différentes étapes :
1 mois avant Noël

 Mélange 1 :beurre mou et sucre brun
 Mélange 2 : farine,  épices, raisins secs, fruits confits et noix
 Mélange 3 :  oeufs, alcool, jus et zeste de citron et d'orange,  miel (ou Golden Syrup + mélasse)
 On ajoute le mélange 1 au 2, puis le 3

 Il n'y a plus qu'à faire cuire 30 mn à 180°C et 2h30 à 150°C (Vérifier avec la cuisson avec le couteau)
Pendant ce temps ces dames papotent autour du tablier...
 
10 jours plus tard, le gateau a été conservé au garage ,
enveloppé dans du papier alu et dans une boîte en fer.
On étale 2 pains de pâte d'amande sur une épaisseur de 1 mm. On badigeonne le gâteau avec de la confiture d'abricot avant de le tapisser avec la pâte d'amande dessus et sur les côtés. L'air ne doit plus passer. Laisser sécher 1 jour dans la maison avant de refermer et entreposer au frais.
 Pose du glaçage 3 j après


Une fois décoré avec des fruits confits, de la pâte d'amande, un ruban...

mercredi 28 novembre 2012

Atelier couture

Le 23 novembre, La Molène avait organisé un atelier couture pour réaliser un tablier de jardin, pratique pour avoir toujours à portée de main son sécateur, son portable, ses gants et son carnet de note.




 







Dans la bonne humeur, les "spécialistes " en couture nous ont guidé dans la réalisation de l'ouvrage.



Monique a enchaîné avec la réalisation du Christmas cake, un gâteau qui se prépare un mois avant les fêtes de Noël ! N'hésitez pas à nous demander la recette !

 A ce propos, l'association va éditer un livret de nos meilleures recettes  qui sera vendu lors de la journée du Téléthon à Biganos.












lundi 29 octobre 2012

Les lilas sont fleuris !



Une charmante dame nous fait profiter des photos de son lilas qui s'est mis à fleurir ces jours-ci à Biganos et semble avoir supporté les gelées de la nuit dernière.

lundi 7 mai 2012

Classification des végétaux

Alain Bocquelet  a entrepris courageusement de nous parler de la taxonomie des végétaux samedi 21 avril lors d'un atelier en salle. Afin que cet exposé pour le moins exhaustif ne demeure pas dans l'oubli, voici quelques planches détaillant la classification du règne végétal et la clé de détermination des principales familles de végétaux supérieurs.

Cliquez sur les images pour les agrandir!

















Voici la référence de quelques flores que je trouve assez simples à utiliser :
Fleurs et plantes d'Europe Espèces herbacées et arbustes de Jean-Denis Godet-Ed. Delachaux et Niestlé -1991

Guide des fleurs sauvages de Fitter R. et A., Blamey M. -Ed Dalchaux et Niestlé -1986

mardi 17 avril 2012

Fabriquer un tepee




- Plantez dans la terre 11 bâtons de 2 m de long en formant un cercle de 60 cm de diamètre.
Assemblez-les provisoirement au sommet avec un lien.

- Pour le tressage, utilisez des brins souples qui fassent environ 1 fois et demie le tour. Commencez à 30-40 cm du sol avec 2 brins côté pied (gros bout). Travaillez en super : positionnez un brin dessus et un dessous et croisez-les à chaque passage d’un montant.

Pour changer de brins, faites chevaucher les brins suivants sur 2-3 montants en commençant par la cime (côté fin) pour l’un et côté pied pour l’autre.

- Faites une bande de 15-20 cm de hauteur et une deuxième bande un peu plus haut. Détachez les extrémités des montants pour éviter d’être gêné.

- La trace forme une spirale purement décorative : Piquez 2 brins longs et souples à droite d’un montant et montez en faisant une spirale jusqu’au sommet en travaillant en super.

- Liez les extrémités du tepee avec un brin court ou de la ronce.







vendredi 30 mars 2012

Le Greffage

Si vous êtes intéréssés, Sandrine propose de constituer un atelier un samedi matin.
Merci de prendre contact avec elle directement,
son adresse mail est dans la liste des adhérents

1 Pourquoi le greffage ?
Même en améliorant le sol, il est assez difficile de l’adapter pour chaque variété, depuis de nombreuses générations les pépiniéristes ont trouvé la parade: la greffe. Le greffage utilise des porte- greffe adaptés au sol de chaque région. (D’où l’importance d’acheter des arbres fruitiers produit dans la  région du jardinier !)
Le porte-greffe le plus connu est le franc .Celui-ci donnera à l’arbre une grande robustesse.
Mais il existe aussi des porte greffes nanifiant donnant au futur arbre une petite taille. (idéal pour les petits jardins, les cultures en pots sur les terrasses et les balcons)
Quelques porte-greffes:

*Pommier : le franc Le M27
*Poirier : le franc Le cognassier d’Angers
*Cerisier : le franc Le Sainte Lucie
Le greffage consiste à fusionner un végétal (greffon) à un autre (sujet) qui deviendra son support nourricier. Les caractères des deux plantes peuvent alors se compléter. Par exemple, le greffon est choisi pour ses qualités esthétiques ou fructifères et le sujet pour sa vigueur et sa facilité de culture.

Le greffage a de nombreuses fonctions. Il sert à :
  • Remplacer une mauvaise variété par une bonne ou rajeunir un arbre épuisé par la transfusion d'une sève nouvelle sans devoir arracher et replanter.
  • Remplacer des branches fruitières ou charpentières qui manquent sur un arbre déjà développé.
  • Regrouper deux arbres de sexe différent sur un même plant.
  • Pour des arbres issus de semis, rendre fertile rapidement des arbres qui ne le seront que tardivement. Exemple : en greffant un rameau de poirier sur un sujet à rapide mise à fruit comme un cognassier.
  • Sauver une variété ancienne en permettant sa propagation rapide par greffage.

2 Quelles variétés associer ? L’affinité
Quand le greffon réussit à se souder au sujet, on dit qu'il y a affinité. Cependant cette affinité peut être plus ou moins grande et donc plus ou moins durable. On reconnaît qu'une affinité n'est que partielle quand un bourrelet se forme à l'endroit de la greffe ou que le diamètre du sujet et celui du greffon sont trop différents.
Le sujet et le greffon doivent être parents pour qu'il y ait affinité. Par exemple, le poirier de variété duchesse réussit très bien greffé sur un poirier commun. (De manière générale, on greffe « noyau sur noyau » et « pépin sur pépin » )
La vigueur et l'époque d'entrée en végétation doivent être les mêmes pour le sujet et le greffon. Le sujet doit être assez fort pour recevoir le greffon. En greffant une espèce délicate sur un sujet faible, vous obtiendrez un arbre malingre.
Le greffon doit comporter au moins 1 œil (bourgeon), si possible 2 ou 3.
La meilleure période pour greffer est en principe le printemps, quand la sève est en mouvement.
Les outils seront désinfectés pour éviter la transmission de parasites et de maladies.



Le greffage en fente :
Cette technique est réservée aux arbres fruitiers dont le diamètre du tronc ne dépasse pas 7cm de diamètre.
Les sujets à greffer doivent être rabattus pendant l'hiver et les greffons que vous aurez coupés en Janvier-Février mis en botte, à demi enterrés verticalement dans du sable.
Il faut utiliser des greffons stratifiés c'est à dire coupé à la l'avance. (Vous pouvez aussi conserver les greffons en les piquant dans une pomme de terre et en les mettant dans l'obscurité à la cave.)

Enfouissez vos greffons dans un coin abrité.

Pour une greffe en fente simple le greffon comprend 2 ou 3 yeux et sa base est préparée en double biseau un peu allongé. Le biseau commence au niveau de l'œil inférieur.
Le porte greffe est tronqué suivant une surface plane. Les coupes sont rafraichies au greffoir ou au cutter, puis il est fendu avec soin dans le sens de la hauteur sur 2 ou 3 cm avec la lame du couteau en faisant un mouvement de bascule.

Introduisez le greffon dans la fente, de sorte que les écorces du porte greffe et du greffon coïncide bien. C'est sur la zone séparatrice du bois et de l'écorce que doit s'opérer la coïncidence, et non sur la face extérieure de l'écorce.  (voir schéma)
La greffe est ensuite ligaturée et soigneusement engluée avec du " mastic à greffer ".
Le greffage  en couronne :
La greffe en couronne s'exécute en Avril-Mai (quand la circulation de la sève permet de soulever facilement l'écorce du porte greffe)surtout sur des arbres fruitiers âgés que l'on désire rajeunir.
L'hiver qui précède, rabattre le porte greffe et en Janvier-Février récolter les greffons de la même manière que pour le greffage en fente.
Pour réaliser la greffe ,le porte greffe est tronqué suivant une surface plane. La coupe est rafraichie au greffoir ou au cutter, ensuite incisez l'écorce sur quelques centimètres pour pouvoir la soulever avec un objet non métallique. L'extrémité des greffons qui viendra en contact avec le porte greffe seront taillés en biseau.
Mettez le greffon en place; les 2 parties dénudées doivent être en contact étroit; pour améliorer cette union, ligaturez la greffe ( raphia ou fil de coton ) et recouvrez toute la zone de greffage avec un mastic à greffer.
Selon le diamètre du porte-greffe, il est possible de mettre jusqu'à 3 greffons
4 Les saisons pour greffer:


Février
Février
Mars
Mars
Avril
Avril
Avril
Mai
Mai
Juin
Juin
Juillet
Juillet
Août
Août
Sept.
Cognassier
pommier
poirier
conifères
actinidia
abricotier
kaki
noisetier
noyer
pêcher
vigne
agrumes
cerisier
cognassier
figuier
grenadier
kaki
olivier
poirier
prunier
pommier
pêcher
abricotier
amandier
figuier
noisetier
noyer
olivier
châtaigner
abricotier
amandier
pêcher
abricotier
prunier
vigne
actinidia
agrumes
amandier
cerisier
cognassier
grenadier
kaki
pêcher
poirier
pommier
poirier

jeudi 22 mars 2012

Etude sur le piégeage du frelon asiatique





Voici une étude détaillée qui montre l'impact très négatif des pièges à frelons asiatiques sur la faune locale et le peu d'efficacité sur les frelons incriminés. Seuls les apiculteurs ont intérêt à poser des pièges près des ruches d'août à octobre en attendant que des pièges plus spécifiques soient élaborés. On peut espérer aussi que les populations diminuent naturellement comme ce fut le cas dans sa première zone d'infestation.

http://www.inra.fr/opie-insectes/pdf/159haxaire-villemant.pdf

jeudi 15 mars 2012

Autre modèle d'hôtel à insectes

Un autre modèle d'hôtel à insectes, orienté ici à l'ouest qui sert en même temps de clôture au jardin, afin de cacher l'horrible grillage ! 
En fait,vu ses dimensions importantes (120X100 cm), la conception du décor évolue au fil du temps, au gré des tailles et des trouvailles au jardin (épis de maïs, nid abandonné, écorces, pommes de pins, tiges creuses d'hortensia et fleurs séchées, rouleau de carton ondulé en bouteille, souches, pot de paille, mousse...) . Il manque à tapisser les briques d'argile mélangée à de la paille pour attirer les abeilles solitaires.
Les planches de coffrage en pin ont été passées à l'huile de lin additionné d'essence de térébenthine.


 La construction d’un hôtel à insectes


La taille du bâti va dépendre de l’importance du jardin mais aussi de l’effet esthétique souhaité. Choisissez un bois imputrescible comme du robinier faux-acacia, du châtaignier, du mélèze ou du douglas afin de ne pas être obligé de le traiter. Cet hôtel fait 1,20 m de haut sur 1 m de large et 22 cm de profondeur. Il est surélevé à 30 cm du sol. Divers compartiments sont aménagés pour accueillir des tiges creuses de différentes grosseurs  (ronce, sureau, buddleias, persicaire, bambou …), des petits rondins de bois percés avec une chignole , une natte de roseau enroulée, du petit bois sec, des morceaux de briques alvéolées ou bien encore des pots remplis de fibres de bois ou de foin. De la terre glaise mélangées à de la paille peut être ajoutée dans les briques de manière à favoriser la venue des abeilles solitaires repérables au bouchon d’argile qui obturent les alvéoles l’hiver.

 2 box aux ouvertures spécifiques sont aménagés pour accueillir le bourdon et les chrysopes  : une ouverture de 1 cm de diamètre est pratiquée sur la façade avec une petite piste d’envol destinée au bourdon, des fentes de 3 à 5 mm pour attirer les chrysopes. Remplissez ce box-ci de carton ondulé enroulé ou de paille.

Matériel :
- 11 m de planche large de 22 cm de large sur 2 cm d’épaisseur,
- tuiles ou toile goudronnée pour agrafer ou coller sur le toit (2 morceaux de 80 cm X 36 cm),
- 2 pieux de 90 cm de long, section 4 x 4 cm avec des douilles métalliques pour enfoncer dans le sol

Réalisation :
- Assemblez le cadre (1,20 x 1 x 0,22 m3) avec des vis puis les étages intermédiaires en incluant les 2 box. Les façades des box doivent pouvoir s’ouvrir à l’aide de charnières ou de clous servant de pivots.
- Boulonnez les pieux sur les côtés puis les insérer dans les douilles.
- Vissez les planches du toit de manière à faire déborder de 7 cm de part et d’autre du pignon ou posez des tuiles romaines.

samedi 25 février 2012

Petit salon de thé autour des plantes tinctoriales


Marianne Scott nous a accueillie ce samedi matin autour de ses connaissances des plantes, de la couleur, et de la teinture textile, avec son mini laboratoire de cuisinière chimiste !

Voici quelques images de nos expérimentations de plantes tinctoriales :
 Notre tasse de thé : fabrication d’eau de cendre qui est un modificateur de couleur, un quart de cendre mélangé à trois quarts d’eau,  puis laisser reposer.

 Au menu : remise de documents pour un listing des plantes colorantes, fibres (végétales, animales) et méthode de teinture (fixation par mordançage, extraction à froid par fermentation ou à chaud par bouillon).

La bouilloire siffle : un peu d’eau chaude pour hydrater notre poudre de henné et la transformer en pâte odorante. Confection d’un pochoir papier pour teinter des carrés de tissu avec des motifs.

 Assiette de cup cakes : expérimentation autour d’une purée de chou rouge, réaction au vinaigre, au savon d’alep et à l’eau de cendre, notre palette se compose de jus lumineux rose, bleu et vert.

Petit cours d’histoire de la couleur avant d’attaquer le rinçage de petites préparations tinctoriales : découverte du jaune intense du curcuma, du orange peaux d’oignons, du beige noix de galle, et le topinambour qui na pas tenu ses promesses !


Presque midi, nous rendons nos tabliers et nos gants en latex, ravis d’avoir quelques pistes pour mettre de la couleur dans nos intérieurs… en attendant celles du printemps.
De retour chez moi, je me suis aperçue que quelques perce neige sont apparus, une abeille y butinait, quel doux son ce jour d’entendre la vibration de ses ailes, quel joie d’observer ses pattes rebondies de pollen !

Petit résumé concernant les plantes bio-indicatrices

D’après le fascicule "Conditions de levée de dormance des principales plantes
bio-indicatrices" de Gérard Ducerf – Ed Promonature
Les graines sont produites par les plantes spermaphytes c’est-à-dire par l’ensemble des Gymnospermes (= conifères) et des Angiospermes (= plantes à fleurs). Ces graines entrent en dormance et nécessitent des conditions particulières pour germer. Le sol constitue ainsi un énorme réservoir de graines, parfois de très longue durée de vie (+ de 10 ans chez le chardon). Leur levée de dormance dépend ainsi de différents facteurs:
- de la géologie, du climat, de l’hydrologie, de la structure du sol
- de la vie des bactéries du sol, aérobies : qui nécessitent de l’oxygène pour respirer sachant que ces dernières sont responsables de la transformation de la matière organique du sol
                                            ou anaérobies : qui fermentent dans des sols très tassés ou saturés en eau (sols hydromorphes), responsables de la transformation de la roche-mère en terre arable*.
- des pratiques humaines présentes et passées
- de l’environnement végétal
* Chaque fois que l'on bouleverse le sol par un labour trop profond, on ramène sa fertilité au niveau qui existait il y a 400 millions d'années ! 

Ainsi toutes les plantes, à partir d’une abondance significative, sont susceptibles de nous renseigner sur les contraintes passées et présentes enregistrées par le sol.
Gérard Ducerf a initié l’étude des plantes observées sur les parcelles agricoles – c’est-à-dire les « mauvaises herbes » ou « adventices » – en faisant des rapprochements avec leur milieu de vie naturel (le biotope primaire) afin de diagnostiquer l’état du sol, suite notamment à des pratiques agricoles inadéquates.

Voici quelques exemples de plantes bio-indicatrices courantes :

Illustration Eva Deuffic ou
renvoi vers un site
Nom de la plante
Significations au niveau du sol
 
Petite oseille
Rumex acetosela
Carence du sol en argile, il ne peut y avoir de complexe argilo-humique faute d’argile et/ou d’humus

Photo sur Missouriplants

Spergule des champs
Spergula arvensis
Sol pauvre en argile et matière organique causé par le lessivage ou l’érosion


Photo sur Goinfrounet
Mouron blanc
Stellaria media
Sol équilibré, bon complexe-argilo-humique
Pissenlit
Taraxacum officinale
Excès de m. o*. d’origine animale : d’où un excès de N* et K*et début d’anaérobiose qui bloquent certains échanges
Véronique à feuilles de chêne Veronica chamaedrys
Excès de m.o. végétale : provoque des excès de carbone qui fait évoluer le sol vers la forêt en formant un humus archaïque

Photo sur Florealpes
Renoncule rampante Ranunculus repens
Engorgement en eau : hydromorphisme, la m.o. est décomposée par des bactéries anaérobies. Le complexe argilo-humique perd certains éléments qui sont lessivés, oxydés ou réduits (gley à irisations bleues ou orange)


Photo sur Fleur des Champs
Grand plantain
Plantago major
Sol tassé qui produit des anaérobioses par privation d’oxygène
Rumex à feuilles obtuses
Rumex obtusifolius
Anaérobiose complète, sol asphyxié : excès de m.o. +sol tassé +sol engorgé en eau
Légumineuses comme la vesce jarosse
Vicia cracca
Ou la moutarde des champs
Sinapis arvensis
L’élévation de pH ralentit l’activité des bactéries
Oxalis
Climat trop sec et trop chaud gêne l’activité des bactéries
Vérâtre
Veratrum album
Hiver longs et froids gênent l’activité des bactéries
Datura
Datura stramonium
Pollutions agricoles, industrielles ou urbaines qui intoxiquent le sol
Chardon commun
Cirsium arvense
L’asphyxie du sol bloque le P*
Ail des vignes
Allium vineale, A. oleraceum
L’asphyxie du sol bloque le K*
Blette maritime
Beta maritima
Salinisation du sol due aux excès d’engrais et aux excès d’irrigation en période chaude
(*)
m. o : matière organique
N : azote
K : potassium
P : phosphore
Hydromorphisme : anaérobiose totale du sol due aux engorgements en eau
Site de plantes sauvages ICI.


 Bien entendu, pour faire un inventaire précis, il faut l’exécuter en dehors de la période hivernale, avant une fauche, ne pas tenir compte des espèces recouvrant moins de 10% de la surface, attribuer un taux de recouvrement objectif c’est-à-dire correspondant à l’ombre portée au sol (Les taux de 10%, 25%, 50% 75%,100% correspondent à des coefficients de 1 à 5) et tenir compte des nuances d’intensivité à la manifestation des caractères indicateurs selon les évaluations déjà réalisées.


Pour en savoir plus, lire L’encyclopédie des plantes bio-indicatrices alimentaires et médicinales  de Gérard Ducerf Ed. Promonature. Il existe déjà 2 tomes faisant l’inventaire d’un nombre de plantes de plus en plus large